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Réflexions décousues sur les relations hommes-femmes

relations hommes-femmes

Les femmes recherchent-elles toujours les alphas ?

Une réponse simple à cette question serait « oui ».

Il faudrait néanmoins avancer l’idée que la conception de la masculinité Apha a toutefois changé même si la notion de sécurité qu’elle sous-tend reste la même.

D’où vient ce concept ?

Alpha est la première lettre de l’alphabet grec et elle indique une certaine hiérarchisation des mâles dans un groupe défini, alpha étant ce qu’on qualifierait de « dominant » par opposition aux autres mâles (bêta etc.). Cette classification trouve directement sa source sur l’observation des singes et les conclusions tirées des scientifiques qui ont étudié les gorilles. Ces derniers se structurent autour d’un mâle dominant qui règne en maître et qui exerce son pouvoir sur un harem de femelles gorilles avec lesquelles il a l’exclusivité de copuler. Au-delà de ces femelles existent de jeunes mâles qui ne peuvent pas se reproduire avec les femelles, étant en effet subjugués sous l’autorité du mâle alpha. Certains entretiennent néanmoins le désir de prendre sa place.

Cette configuration entre les individus du groupe diffère sensiblement selon qu’on s’intéresse à d’autres espèces de singe. Ainsi, les chimpanzés et les bonobos ont des structures qui ne suivent pas la logique du mâle alpha. L’un étant organisé autour de couples et l’autre étant plutôt de nature matriarcale.

Pourquoi suivre alors la logique du mâle alpha ?

Si l’homme est davantage plus proche génétiquement du chimpanzé alors pourquoi vouloir le rapprocher du gorille et de sa structure sociale ?

Le mâle alpha est celui qui assure la sécurité du groupe, c’est lui qui chasse les prédateurs potentiels et organise le territoire. En somme, il maintient la sécurité. Si les structures humaines diffèrent grandement, elles se ressemblent néanmoins sur la question de la répartition des richesses. La loi de Pareto s’applique dans de nombreux cas. Nous sommes en effet davantage dans cette logique du “winners take all”.

La richesse est la principale pourvoyeuse de sécurité pour les humains. De ce fait, on peut comprendre pourquoi la logique du mâle alpha peut être une métaphore du roi ou de la personne riche qui jouit d’un statut qui lui permet d’assurer la sécurité à beaucoup de gens.

La sécurité

Si la sécurité est un élément important dans l’attrait d’un homme, celle-ci peut prendre plusieurs formes (matérielle, émotionnelle etc.)

Le mâle alpha traditionnel

Il se fait respecter et impose sa volonté aux autres. Il répond aux besoins de sécurité matérielle et physique.

Le mâle alpha du futur

Il assure la protection matérielle et physique tout en apportant une compréhension émotionnelle et finalement a la capacité à répondre à l’ensemble des besoins de la pyramide de Maslow.

Des raisons qui expliquent la difficulté de communiquer entre les hommes et les femmes

Une hiérarchie des valeurs qui peut être différente

Ce qui valorisé chez un individu diffère sensiblement selon qu’on est une femme ou un homme. Malgré les avancées des forces progressistes, il existe des différences de nature importantes qui induisent une hiérarchisation des priorités différentes. La femme est conditionnée par la recherche de stabilité chez un partenaire le plus souvent étant donné qu’elle est celle qui porte l’enfant. Un homme qui n’est pas soumis à la même contrainte donnera moins d’importance à cet aspect, néanmoins, il recherchera davantage la réussite matérielle en ce qu’elle est synonyme de stabilité et de protection pour une progéniture (et donc augmente ses chances de succès auprès de la gente féminine).

L’homme doit apporter la sécurité en contrepartie de laquelle il recherchera la fécondité chez la femme qui prend plusieurs aspects, la beauté est l’un d’entre eux. Cette exigence de fécondité pousse les femmes à vouloir augmenter leur capital beauté.

Dans quelle mesure la femme est-elle façonnée par le regard des hommes ?

S’il est une chose qui frappe lorsqu’on se projette de part et d’autre des rives sud et nord de la Méditerranée, c’est sans doute le rapport au vêtement féminin. Pour des raisons diverses, les femmes ont adopté une manière de se vêtir qui diffère sensiblement les unes des autres. Si à certains endroits, on remarque le poids de la tradition ou de la religion qui peut s’abattre sur elles comme une chape de plomb, pour d’autres c’est bien la nécessaire sexualisation ou du moins érotisation du corps qui leur est imposée.

La femme qui n’a hélas pas toujours eu la possibilité de se mouvoir librement dans l’espace public. Elle est d’ailleurs encore aujourd’hui sommée d’avoir une raison particulière de s’y trouver contrairement à l’homme. En effet, il paraît moins suspect qu’il flâne ou qu’il soit oisif dans l’espace public. L’homme s’est approprié l’espace urbain et c’est sans doute pour cela qu’il impose à la femme ses codes ou ses conditions.

La sexualisation du vêtement féminin que l’on retrouve un peu partout devrait nous interroger sur son rôle et la place qu’occupe la femme dans l’espace public. Si la plupart des sociétés proscrivent une objetisation du corps des femmes, ce phénomène reste encore visible dans certaines parties du globe. La femme-objet répond au désir masculin de contrôler l’angle selon lequel cette dernière peut s’exprimer.

La sexualisation du vêtement répond à mon sens à une forme de soumission de la femme aux désirs des hommes dès lors qu’elle se trouve dans l’espace public. Dans la mesure où cet espace est encore considéré pour certains comme un lieu d’essence masculine, les femmes perdent la liberté de s’habiller qu’elles avaient chez elles.

Se présenter comme un objet de désir sexuel est en soi une manière de rabaisser la femme sinon du moins de réduire sa personne à un élément superficiel.

Les femmes et le poids du regard des hommes

Une société qui impose à ses femmes la sexualisation de leur corps les rend impotentes et ne leur permet de s’émanciper du patriarcat qui caractérise l’ensemble des pays. Dans une telle situation, une femme n’est considérée qu’à partir du moment où elle aura satisfait les attentes de la gente masculine par un style vestimentaire qui traduit une soumission à l’ordre.

La femme et sa relation au travail

Puisque les femmes étaient traditionnellement exclues du marché de l’emploi (en dehors de l’emploi domestique), elles se sont systématiquement retrouvées sous les ordres d’un homme au début de l’ouverture du marché du travail aux femmes. La femme étant celle qui est par nature plus proche des enfants, aura un rôle social prépondérant dans leur éducation.

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