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Là où il y a peu de données, l’homme a encore du pouvoir

Ce qui rend l’IA irrésistible, c’est sa capacité à analyser des milliards de données afin d’en tirer des conclusions, exercice que l’homme est incapable de faire. Si le nombre de domaines dans lesquels l’homme aura un avantage sur la machine va se réduire avec le temps, il reste encore des contextes qui lui laissent un avantage sur elles, du moins un certain temps.

Les domaines de peu de données

L’IA est compétente et précise lorsqu’elle travaille dans le Big data. Elle est maladroite, imprécise voire incapable lorsque le nombre de données est limité. C’est dans ce cadre-là que les humains ont encore quelques années d’avance sur les IA. Mais quels sont les domaines où les données sont limitées ? Tout ce que nous faisons ou sommes peut être traduit sous la forme de données : notre comportement sur la toile, les données créées par notre organisme etc. Or, il existe encore des domaines où le Big data n’a pas encore fait son entrée. C’est dans ces rares enclaves que les humains pourront encore tirer leur épingle du jeu.

L’humain peut analyser un petit nombre de données et en tirer des conclusions justes, contrairement à l’IA. C’est ce que fait par exemple un bébé qui peut reconnaître facilement la différence entre un chien et un chat, sans avoir à regarder et comparer des millions de photos de chats et de chiens.

Il n’est pas évident de savoir quels sont les domaines où l’IA n’a pas encore été déployée. Certaines dispositions juridiques empêchent la collecte de données dans certains domaines afin de, par exemple, protéger l’anonymat ou la sécurité. Cela dit, ces domaines sont de plus en plus réduits.

Le bastion du Small data

Le Small data désigne tout ce que l’on peut comprendre à première vue sans l’entremise d’une intelligence artificielle. Beaucoup de ce que nous faisons au quotidien est en réalité le fruit d’une analyse Small data. Dans le même temps, beaucoup des tâches que nous faisons ne débouchera pas sur un travail. Néanmoins, un travail est l’addition d’un nombre de tâches de type Small data le plus souvent.

Les métiers préservés pour un temps

Les métiers qui vont résister à l’IA sont ceux qui n’auront pas besoin d’elle ou bien qui seront meilleurs qu’elle (plus rapides, moins gourmands en énergie etc.). Il existe encore pléthore de professions qui sont préservées des assauts de l’IA. Nous avons un avantage en tant qu’humains, pour le moment, c’est que notre esprit est parfaitement intégré à un corps agile. Les métiers qui disparaissent à cause de l’IA sont ceux qui impliquent une interface homme-ordinateur dans laquelle le corps de l’homme est statique ou n’est pas sollicité. Bien sûr, cet avantage disparaîtra avec le temps au fur et à mesure que l’agilité des robots augmentera. Si votre corps et votre intelligence sont sollicités (artisanat etc.), vous serez préservé pour un temps. Si seulement votre corps (ouvrier d’usine, etc.) ou seulement votre créativité (designer etc.) est sollicité, vous serez tantôt remplacé par une machine tantôt par une IA.

Comprenez, l’IA signifie que l’intelligence devient abondante et bon marché

L’IA est l’équivalent de la découverte et l’utilisation du pétrole au XIXe et XXe siècle. Avant l’exploitation du pétrole (et a fortiori du charbon), l’énergie était coûteuse, tout devait se quantifier en travail humain. C’est d’ailleurs l’industrialisation et l’utilisation d’une énergie carbonée qui a rendu en partie obsolète l’utilisation de la main-d’œuvre humaine massive dans l’économie primaire (conduisant notamment à l’abolition de l’esclavage dans les pays industrialisés, abolition qui viendra bien plus tard ailleurs, comme par exemple dans les pays du Golfe – au cours de la seconde moitié du XXe siècle -). Là où le pétrole signifie une substitution de main-d’œuvre (ou de sa meilleure utilisation), l’IA signifie un abaissement drastique du coût de l’intelligence. En effet, il faut environ 30 ans par exemple à un humain pour obtenir un doctorat (depuis sa naissance). Pour une IA, un accès aux connaissances équivalentes est quasi instantané.

L’accessibilité et le coût minime de l’intelligence remettent en question la valeur économique du travail humain

Ce qui jusqu’à présent définissait l’homme par rapport aux animaux et machines, c’était sa capacité à être créatif et intelligent. Aujourd’hui, une partie non négligeable de l’humanité devient moins intelligente que l’IA (Chat GPT-4 est plus intelligent que 48% des Français) et cette portion va grandir de plus en plus. Le résultat est que l’humain, dans sa globalité, aura de moins en moins de choses à proposer par rapport aux IA. Seule une élite intellectuelle pourra continuer d’avoir une valeur ajoutée par rapport à ses homologues artificielles. C’est un peu ce qui s’est passé avec l’industrialisation de la confection de vêtements : la majorité des ateliers de confection manuelle ont fermé et seuls les grands couturiers ont continué de travailler de manière artisanale étant donné qu’ils avaient quelque chose à proposer de plus que le prêt-à-porter.

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