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Nous devons souffrir l’une ou l’autre chose : la douleur de la discipline ou la douleur du regret. Jim Rohn

On se méprend, je crois, quand il s’agit de bien-être car il en existe deux formes.

Le faux bien-être

Tout d’abord commençons par une chimère…
Ce “bien-être” est celui que l’on consomme tous les jours. Il est accessible très facilement, à portée de clic, il demande peu d’efforts pour être obtenu. Il nous est servi le plus souvent sur des écrans de smartphones ou sous la forme de repas gras ou de boissons sucrées. Il s’agit du “bien-être dopaminal”. Je mets des guillemets parce qu’il n’est en rien bienfaisant pour notre santé ou notre esprit. Il nous avilit et ne nous permet pas de recharger nos batteries. Il est impossible cela dit de ne pas s’y adonner un peu tous les jours. À petite dose, il est inoffensif et comme on dit la perfection n’est pas de ce monde.

Le bien-être facile

C’est celui auquel tout le monde pense : cette séance de yoga, ce séjour à la montagne, cette séance de spa, cette courte sieste avant de reprendre le travail ou encore cette grasse matinée qu’on s’offre comme récompense d’une semaine laborieuse. Ce bien-être-là est déjà plus difficile car il demande de s’organiser et le plus souvent d’ouvrir son porte-monnaie.

Le bien-être durable

Celui-ci est excessivement dur, il est le fruit d’une masse d’efforts fournis le plus souvent sur une durée très longue. Il peut se matérialiser comme la sérénité du champion après avoir reçu le Graal qui est symbolisé par une coupe ou une médaille. Cela dit, le bien-être durable ne prend pas le plus souvent une forme concrète. Il est simplement le résultat d’une transformation intérieure profonde. En fournissant une énorme quantité de travail dirigée vers un seul but, la personne a réussi à changer les cellules de son corps et la façon dont son cerveau est câblé. Bien sûr, cela prend du temps et c’est pour cela que peu de gens arrivent à se trouver dans un état permanent de bien-être. Cet état correspondrait à ce qu’on peut appeler le niveau de maîtrise décrit dans le livre “Mastery” de Robert Greene. Il s’agit du moment où notre inconscient est tellement imprégné de la chose que nous faisons que nous agissons par intuition. La maîtrise dans un domaine nous donne une telle satisfaction qu’elle a un effet bénéfique sur les autres aspects de notre vie et notamment notre bien-être qui est intimement lié à notre estime personnelle et notre sentiment de contribution (par rapport à une communauté ou la société en général).

Quels sont les ingrédients permettant de réaliser la maîtrise ?

Dans un premier temps, selon Robert Greene, il existe une phase d’observation durant laquelle on assimile passivement les éléments du domaine que l’on souhaite maîtriser. Cette phase peut inclure de discuter avec les personnes qui composent déjà cette scène professionnelle. L’élément central de la maîtrise est la pratique délibérée, c’est-à-dire une masse de travail considérable dirigée vers un seul et même but. Certains parleront de la règle des 10 000 heures, d’autres parleront de la règle des 10 000 essais et erreurs. Pour qu’elle se passe dans les meilleures conditions possibles, il faut qu’elle se fasse sous la supervision d’une personne qualifiée voire elle-même experte du domaine en questions. Enfin, pour atteindre la maîtrise, il faut dépasser le maître, ce qui implique d’aller au-delà des limites qui nous ont été fixées. Ceci n’est bien sûr possible que lorsque l’on a assimilé toutes les bases nécessaires à la conduite du métier en question.

Voici une liste d’exemples qui vous présentent la vie de gens qui ont atteint un état de bien-être durable par la maîtrise et les moyens qui leur ont permis d’y arriver :
– Le Bouddha par la méditation
– Bach par la composition musicale musique
– Marie Curie par l’expérimentation scientifique
– Mahatama Gandhi par l’action politique et la désobéissance civile
– Zinédine Zidane par le football
[…]

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