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Si vous avez du mal à parler à Dieu, adressez-vous à ses ministres

L’essence des religions monothéistes est l’idée qu’il peut y avoir un lien direct et permanent avec Dieu. Cependant, dans ces mêmes monothéismes, on trouve la notion d’ange, une sorte d’être proche de Dieu qui jouit d’un niveau de conscience relativement élevé. Dans d’autres traditions, la connexion à Dieu peut se faire par l’intermédiaire de divinités.

L’analogie d’une compétence

On pourrait dire que la spiritualité est une sorte de compétence : on peut avoir une prédisposition, mais il faut travailler et “s’entraîner” pour atteindre le niveau suivant. Lorsque vous commencez à apprendre une nouvelle discipline, vous êtes souvent mis en contact avec quelqu’un qui est compétent pour enseigner, mais qui n’est pas nécessairement le meilleur dans le domaine. Cette personne est là pour vous aider à aller de A à B, sachant que quelqu’un d’autre vous aidera à aller de B à C et ainsi de suite. Bien sûr, vous pouvez à tout moment regarder des vidéos de l’élite de la discipline, ou lire leurs livres, mais l’essentiel de vos progrès se fera avec vos différents professeurs. À mon avis, c’est la même chose pour la religion : vous pouvez vous connecter à Dieu personnellement, mais votre progrès spirituel se fera surtout avec vos enseignants.

Toujours se connecter avec quelqu’un qui peut vous élever

Vous n’avez pas toujours l’occasion de vous connecter à Dieu parce qu’il vous semble loin. Votre moral est bas et vous avez du mal à vous connecter à votre foi.

Vous vous sentez seul ou déconnecté, mais vous vous sentez démagnétisé au point de ne pas croire en votre capacité à vous connecter à Dieu. Vous pouvez cependant vous tourner vers des entités ou des individus qui sont plus proches de vous spirituellement, mais qui sont encore plus avancés que vous.

Acedia : La paresse spirituelle

Nous avons tous une excuse pour ne pas faire l’effort spirituel quotidien. Pourtant, nous avons le temps de nous divertir, de travailler, de nous amuser et de faire tant d’autres choses. Ce n’est pas le temps qui nous manque, mais la concentration ou l’attention. Nous n’avons pas l’attention nécessaire pour la spiritualité parce que nous n’en faisons pas une priorité. Nous devons réserver du temps chaque jour (de préférence le matin) à la pratique spirituelle. Ce n’est pas la quantité mais la qualité qui compte. La qualité du temps que vous consacrez à votre corps spirituel compte beaucoup.

Vous n’avez pas besoin d’être spirituel tant que vous n’avez pas besoin de l’être

Pourquoi être spirituel quand la vie vous sourit, que tout le monde vous encourage et que vous ne manquez de rien matériellement ? Peut-être que vivre dans l’illusion d’un succès permanent suffit à vous faire oublier les nécessités d’une quête existentielle. Vous êtes probablement perplexe à l’idée de voir des gens aller à l’église ou se passionner pour la prière ou la méditation. À quoi cela sert-il ? Quand on ne manque de rien à l’extérieur, il ne sert à rien de chercher à l’intérieur, n’est-ce pas ? Le problème, c’est qu’on n’est jamais à l’abri d’une crise existentielle. Quel que soit votre âge, si cela ne vous est pas déjà arrivé, vous atteindrez certainement un moment de transition qui vous obligera à apprendre à connaître votre moi intérieur.

Qui nous pensons être et qui nous sommes vraiment

Si vous ne savez pas qui vous êtes, vous ne savez pas si vous êtes en bonne compagnie. La spiritualité vous permet de vous reconnecter à votre moi intérieur et de le laisser s’exprimer plus pleinement dans votre vie quotidienne. Il peut y avoir une grande différence entre ce que nous sommes et ce que nous croyons. Cette différence est le reflet de notre travail spirituel. Plus notre travail spirituel est important, plus la différence est réduite et plus notre moi intérieur s’exprime dans notre vie quotidienne.

La spiritualité et les différents niveaux de bonheur

La spiritualité existe pour des raisons anthropologiques et spirituelles. L’idée centrale d’une vie spirituelle est qu’elle est plus heureuse qu’une vie non spirituelle.
Il existe différents niveaux de bonheur pour chaque dimension de notre être. Le bonheur physique, le bonheur mental et le bonheur spirituel.

Le bonheur physique : Le plaisir des orifices

Le bonheur des sens se résume grossièrement à la satisfaction des orifices du corps (yeux, bouche, etc.). Ce rapport brut au monde est somme toute logique, puisqu’il est lié à notre survie et à notre reproduction. Cependant, se cantonner à ces niveaux revient à limiter notre potentiel. Les plaisirs des sens apportent une satisfaction réelle mais éphémère. Ce n’est pas en s’adonnant aux plaisirs du corps que l’on peut atteindre un bonheur durable, c’est une course sans fin.

Le bonheur mental

Il y a un plaisir à se délecter de la connaissance, à philosopher et à réfléchir. Ce type de plaisir est très répandu dans les sociétés qui ont mis l’accent sur la dimension culturelle de la vie. Il s’agit d’une forme de plaisir plus élaborée, puisqu’il s’agit d’une sorte de distraction par rapport aux plaisirs des sens. Dans certains cas, on pourrait dire qu’il s’agit d’un mécanisme de défense psychologique, en l’occurrence l’intellectualisation. En effet, l’intellectualisation nous permet de mettre de la distance entre nous et le monde, ce qui nous permet en quelque sorte de surmonter nos névroses. Le bonheur mental est moins accessible que les plaisirs des sens, puisqu’il nécessite une éducation. On peut même dire que le bonheur mental peut contribuer à rendre plus beaux les plaisirs des sens. La poésie romantique n’est-elle pas un dispositif culturel destiné à nous faire accéder de manière détournée aux plaisirs du corps ? Le bonheur intellectuel, s’il a ses vertus, a aussi ses limites. Quand on tombe dans le piège de l’intellectualisme à outrance, on peut finir par être trop terre-à-terre et manquer la dimension spirituelle. Cela dit, quelqu’un qui a pris l’habitude d’intellectualiser le monde peut aussi atteindre la spiritualité par ce biais (cf. Jnana yoga).

Le bonheur spirituel

Ce type de bonheur est normalement simple, mais comme nous sommes distraits par la vie dans le monde sensible, nous avons tendance à le manquer. Il est simple, mais il exige aussi une discipline pour éduquer le cœur et l’âme. Plus on monte dans la hiérarchie du bonheur, plus il devient subtil. Le bonheur sensible est tangible. Le bonheur intellectuel est beaucoup plus éthéré.

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