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Être bon nous permet de ne pas souffrir

La pratique de la vertu rend heureux

Beaucoup d’entre nous se demandent parfois quel est l’intérêt d’être bon et de pratiquer la vertu. En apparence, le mal semble triompher le plus souvent, ce qui laisse un goût amer, celui de l’injustice. Comment expliquer alors la persistance de la vertu au sein des normes sociales de la plupart des sociétés ?

Être vertueux, c’est être libre

Quelqu’un qui se comporte mal ou de façon injuste envers les autres accumule ce que l’on pourrait appeler de la dette karmique. Si bien sûr ces dettes ne sont pas visibles, elles le sont en réalité pour tous ceux qui ont un œil averti. En effet, les mauvaises actions s’accumulant, elles dessinent sur notre visage les contours d’une âme malfaisante. Pour tous ceux qui savent lire les visages, la vraie nature d’une personne y transparaît toujours. Quand on agit mal, on s’alourdit d’un fardeau qui devra tôt au tard être délesté si on souhaite mener une vie véritablement heureuse.

Le bonheur des gens méchants

Vous allez me dire qu’à première vue les gens méchants vivent heureux, il n’y a qu’à voir leurs sourires diaboliques, leurs yeux avides et leurs jouissances primaires. Tout cela n’est qu’un succédané de bonheur en comparaison de celui des sages, des illuminés. Le bonheur des méchants est un état plus confortable que le malheur des humiliés ou des martyrisés. C’est pourquoi on préfère souvent être le bourreau plutôt que la victime. La méchanceté imprègne notre âme d’une odeur pestilentielle. Nous en venons à être attirés par les choses noires de la vie et cela nous entraîne dans une spirale infernale. Les gens mauvais se rendent dans des lieux dont l’impureté spirituelle est avérée, là où la saleté, le mensonge et l’immoralité sont monnaie courante. En somme, il suffit parfois d’identifier un lieu (ex : une discothèque lugubre, une maison close etc.) pour identifier le type de personnes qui le fréquentent. Alors pourquoi envier les méchants ? Les démons qu’ils servent finiront tôt ou tard par les dévorer.

Le bien est lent au début et rapide à la fin, à la différence du mal

Le mal peut être séduisant au début parce qu’il détonne et impressionne en comparaison du bien. Le mal est comme une pierre que l’on lance en l’air, au début elle est rapide puis ralentit progressivement pour finalement retomber et tomber sur la tête de celui qui l’a lancée. Le bien est comme une pierre que l’on laisse tomber d’une montgolfière. Elle accélère avec le temps et rien ne pourra la faire revenir à son détenteur initial. Le bien a des effets cumulés positifs comme ceux générés sur un compte d’épargne. Le mal crée un découvert bancaire qu’il faudra tôt ou tard payer.

La principale raison du bonheur, c’est l’estime de soi

Il n’y a pas de bonheur sans amour-propre, a fortiori sans âme. L’âme est l’entité la plus subtile de l’être humain, elle est sensible à nos actions. Si pendant trop longtemps vous agissez mal, on peut pour ainsi dire que votre âme vous quitte et vous devenez une sorte de zombie funeste. Lorsqu’on se fait compagnon du mal, nous éprouvons une honte inconsciente, l’âme n’est pas dupe, elle ne tolère pas le vice bien longtemps. Il n’y a pas de bonheur sans âme. Le vrai bonheur étant la résulte de la jouissance de l’âme et non celle du cœur. C’est une jouissance bien plus subtile mais seul un nombre réduit de personnes l’éprouve. Lorsqu’on ne laisse pas la possibilité à son âme de s’épanouir, on est contraint d’expérimenter des bonheurs inférieurs qu’ils soient physiques, émotionnels ou même intellectuelles.

Le vrai bonheur, c’est l’extase au sens étymologique du terme

Selon Wikipédia : “L’extase (du grec ἐκ / ek, « en dehors », et στάσις / stásis, « lieu où l’on se tient » : « être en dehors de soi-même ») désigne un état où l’individu se ressent comme « transporté hors de lui-même » caractérisé par un ravissement, une vision, une jouissance ou une joie extrême.”

L’extase est avant tout une expérience spirituelle et non la définition courante qu’elle est devenue aujourd’hui – à savoir une expérience sensorielle, le plus souvent sexuelle – . C’est par la pratique de la vertu qui fait grandir notre âme en nous que nous sommes plus à même de vivre l’extase.

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