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Faut-il exposer ou protéger ses enfants ?

Cette question traverse la tête de tout parent. Comment éduquer ses enfants de telle façon qu’ils soient protégés des dangers du monde extérieur tout en n’étant pas ignorants de ses réalités ?

Il y a sans aucun doute un juste milieu à trouver. On ne peut pas laisser ses enfants dans une bulle imperméable au monde extérieur pour qu’ils ne soient pas handicapés plus tard dans la vie. On ne veut pas non plus qu’ils soient trop proches des impuretés qui salissent le quotidien de millions de gens.

Le bouclier et l’épée

Pour bien préparer ses enfants, il faut en quelque sorte leur donner un bouclier (une protection) et une épée (des armes pour se défendre). Les armes ne sont pas tant pour faire mal mais plutôt de savoir que le mal existe et qu’on ne peut pas faire confiance au premier inconnu qui croise son chemin. L’épée va permettre à l’enfant de préparer à son avenir et éviter les pièges de l’enfance qui vont se dresser sur son chemin et qui pourront avoir des conséquences retentissantes par la suite. Le bouclier, c’est vous qui devrez le porter comme dans une sorte de duo. C’est à vous qu’incombe la responsabilité de ne protéger votre enfant des menaces qu’avec son jeune âge il ne peut pas affronter ou discerner.

Les différents thèmes et degrés d’exposition

Un enfant est un adulte en devenir, c’est pourquoi il est nécessaire qu’il ne grandisse pas totalement naïf bien qu’il faille préserver une forme d’innocence propre à l’enfance. C’est un exercice délicat auquel tout parent est confronté. En somme, on pourrait dire qu’il faut l’accoutumer à dose homéopathique au monde adulte qui l’attend.

La philosophie et donc la mort

Philosopher, c’est apprendre à mourir. Grandir, c’est également apprendre à mourir. À chaque instant, il y a une part de nous qui meurt et donc elle peut générer une angoisse existence comme tous les êtres humains avant nous. L’enfant ne sera sans doute pas exposé directement à la mort, mais il sera probablement confronté de près ou de loin à la disparition d’un proche. Savoir que la mort fait partie de la vie et même que c’est la mort qui donne son goût à la vie est une leçon essentielle à transmettre à ses enfants. Tout est impermanent, tout change, tout vient puis s’en va. Vivre, c’est apprendre à mourir, l’enfant doit intégrer cette idée s’il veut vivre pleinement sa vie par la suite.

Rien n’est gratuit, la loi de la réciprocité

Tout action provoque une réaction conformément à la troisième loi de Newton. L’enfant doit savoir qu’il évolue dans un monde fait d’énergies même si ça lui paraît ésotérique. Il y a des forces invisibles qui agissent en permanence, il faut être vigilant quant à la manifestation de ces forces. Pour se protéger, l’enfant doit apprendre le discernement entre les forces négatives et positives. Le mensonge, la peur, la violence, la jalousie et l’agressivité sont les manifestations des forces noires desquelles il faut se protéger et que l’enfant doit éviter de reproduire dans son cœur ou son esprit. À l’inverse, la bienveillance, le pardon, la générosité, le courage, l’abnégation ou la joie sont des éléments qui appartiennent aux forces lumineuses dont il faut s’approcher et que tout enfant peut imiter. Si un enfant prend l’habitude de manifester des forces noirs par ses pensées ou son comportement, il va, selon la loi de cause et effet s’attirer ces mêmes forces dans sa vie que ce soit à court ou à moyen terme. C’est pourquoi il est essentiel qu’un enfant soit au courant de ces lois dès son plus jeune âge.

Un enfant brisé donnera un adulte anéanti

Chaque enfant a des rêves, des espoirs qu’il souhaite concrétiser. La tâche d’un parent consiste en partie à donner des ailes à ces rêves afin qu’il puisse les réaliser pleinement. Bien souvent les adultes tuent dans l’œuf l’enthousiasme de leur enfant, ce qui les pousse à errer dans but pendant des années. C’est pas souci de bien faire que des parent détruisent les rêves de leurs enfants. Le problème, c’est que c’est la peur qui les guide pour les en empêcher. La peur n’est pas bonne conseillère. Quoi que vous fassiez, si vous devez protéger vos enfants, ne soyez pas guidés par la peur sinon l’amour autrement vous allez possiblement détruire ce qu’il y a de plus précieux en eux.

Un parent est un guide mais un ami aussi

Un parent est une figure d’autorité qui doit montrer l’exemple à ses enfants. Ce faisant, elle subit une pression parfois difficile à supporter, tant les enfants exigent beaucoup de nous. Un parent n’est pas parfait et il doit admettre son imperfection en endossant de temps en temps le rôle d’ami, c’est-à-dire d’égal. Un enfant qui perçoit que le parent n’est pas parfait mais qui pourtant jouit d’une autorité pourra finir par se détourner de lui.

S’émanciper de sa propre enfance

Lorsqu’on grandit et qu’on devient soi-même parent, il y a deux phénomènes principaux qui peuvent se passer. Le premier est que l’on décide sciemment de ne pas reproduire les choses qui nous ont fait souffrir ou qui nous ont déplus durant l’enfance. La deuxième est que l’on agit inconsciemment comme notre propre parent sans prendre du recul sur notre propre éducation. Il y a des traumatismes qui peuvent apparaître comme indélébiles, cependant ils doivent être digérés et combattus pour ne pas qu’ils restent imprégnés dans notre inconscients.

Reconnaître le bon et le mauvais de sa propre enfance

Personne n’est parfait et nos parents n’échappent pas à cette règle. Leur en vouloir ne sert à rien une fois adulte, il convient mieux de méditer sur ce qu’ils ont apporter de bon à notre éducation et ce qui pourrait être améliorer. Il n’est pas facile de juger une éducation de manière rétrospective. Les époques et les mentalités changent. Ce qui était acceptable naguère ne l’est sans doute plus aujourd’hui. Une éducation en phase avec son temps est celle qui arrive à tirer les enseignements du passé tout en enlevant ce qui n’a pas plus de raison d’être aujourd’hui. Bien éduquer un enfant est avant tout bien s’éduquer.

On n’enseigne pas autrement que par l’exemple

Ce qui distingue un bon d’un mauvais parent est typiquement que le mauvais parent ne fait pas ce qu’il dit et que le bon parent enseigne principalement par son action et son comportement. Les enfants ne sont pas dupes, ils voient facilement la discordance entre les paroles et les actes. L’action est le principal vecteur de l’apprentissage. La parole n’est qu’un leurre. Les adultes sont facilement dupés par la paroles mais les enfants vont à l’essentiel et ne recopient que ce qu’ils voient et non pas ce qu’ils entendent, c’est pourquoi chaque parent se doit d’être irréprochable.

Les enfants sont des enseignants

Les enfants induisent une nécessité d’exemplarité de par les hautes attentes qu’ils ont pour leurs parents. Leur pureté et leur innocence sont de formidables sources d’inspiration pour les parents qui y voient une noblesse naturelle qu’il faut honorer. Les enfants ne sont pas maculés par la noirceur à laquelle sont confrontés les adultes. Leur pureté peut servir de guide aux parents qui souhaitent la préserver et donc qui implique qu’ils fassent eux aussi des effort.

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