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Une société de l’avarice

Selon la doctrine catholique, il existerait 7 péchés capitaux : la luxure, la paresse spirituelle (acédie), la colère, l’envie, la gourmandise, l’orgueil et l’avarice. Intéressons-nous à ce dernier. Pourquoi nos sociétés sont-elles devenues si avares ? Pourquoi des valeurs plus nobles ont été substituées par cette dernière ?

L’avarice apparaît quand Dieu disparaît

L’avarice, c’est le sentiment de ne jamais en avoir assez, de vouloir toujours accumuler plus de choses. Ce sentiment est la marque d’un vide, d’une peur existentielle, d’un manque de foi en l’avenir, ce sont peut-être ces trois choses qui caractérisent notre époque. Selon les croyances religieuses communément admises, Dieu habite dans le cœur des croyants. Si l’Esprit Saint vous habite, votre âme est déjà nourrie et donc elle ne cherche pas ici et là de maigres consolations que sont les consommations excessives ou les aventures vaniteuses.

Le capitalisme ou la célébration de l’avarice

L’adjectif capital dans l’expression « péché capital » et le mot capitalisme ont la même étymologie « caput » qui signifie « tête » en latin. Un péché capital nous fait risquer notre « tête », ce sont donc des péchés mortels alors que le capitalisme à l’origine se contentait seulement de compter les têtes de bétail. Le capitalisme est une sorte de jeu grandeur nature dans lequel celui qui gagne sera celui qui arrivera à accumuler le plus de richesses. Il n’est ni moral ni immoral mais plutôt amoral, sa moralité se cantonne à la seule règle de l’accumulation. C’est pourquoi l’avarice est une qualité essentielle, c’est la seule vraie valeur qui est directement encouragée dans ce jeu.

Le capitalisme n’a pas de frontière naturelle

Le but du capitalisme peut se résumer à ses règles et elles s’appliquent partout, là même où règne le sacré. L’art en est un bon exemple. Autrefois, l’art était d’essence spirituelle puis il est devenu de plus en plus politique et enfin économique. Le capitalisme a converti l’art en place de marché. La marchandisation du monde pose problème car elle se heurte aux réalités anthropologiques notamment celle de cultiver le sacré. L’homme a besoin de sacré, par exemple dans ses relations amoureuses, familiales ou amicales. Marchandiser l’amour, la famille ou l’amitié pose de grandes questions éthiques. C’est pourquoi le capitalisme sera toujours en lutte et pas nécessairement son opposition naturelle qu’est le socialisme mais bien contre les courants conservateurs et traditionalistes. Les récentes découvertes en matière d’intelligence artificielle, ont mis en avant la nécessité de recourir à des technologies transhumanistes. Ceci bien sûr dans un but d’augmenter la productivité, facteur d’enrichissement. Cependant cela pose une véritable question sur la vocation de l’homme et même sa définition.

L’avarice est une souffrance

L’avarice serait le symptôme d’un trouble de l’âme. Si votre âme est contentée, vous ne devriez normalement pas développer de l’avarice. Quand l’âme est grande, elle est généreuse, elle déborde et veut tout embrasser. Quand l’âme est faible, elle se contracte, se rétracte et voit le monde avec peur et appréhension. L’avarice est l’une des formes de cette souffrance.

Le cœur est comme un radiateur

Les vieux radiateurs centralisés fonctionnaient le plus souvent à l’eau chaude. Il arrivait parfois que l’air s’accumulât dans la tuyauterie, ce qui empêchait l’écoulement fluidique. Pour résoudre le problème, il fallait laisser échapper l’air jusqu’à ce que l’eau jaillisse. C’est la même chose pour le cœur, pour que l’âme y circule de manière fluide et détendue, il faut faire des actes de générosité de temps à autre. Typiquement, faire un acte de service, offrir de son temps, faire un cadeau, sont autant de choses que l’on peut faire pour dilater son cœur.

Un nouveau monde est possible

Si le XXe siècle a vu tour à tour s’effondrer les empires coloniaux et la suprématie européenne qui en découlait, il a été également le spectacle du déploiement massif de l’industrialisation, de la libération des femmes et d’une meilleure condition accordée aux enfants. Bien sûr, il y eut deux guerres mondiales, et elles ont fortement influencé les avancées précédemment citées. En un mot, nous avons eu un bouleversement socio-économique d’amplitude globale. Ces changements seront sans doute sans commune mesure avec ce qui s’est déjà passé jusqu’à présent au XXIe siècle et ce qui reste encore à venir. S’il est difficile de prévoir l’avenir, nous pouvons d’ores et déjà observer les tendances à l’œuvres qui accentueront les changements socio-économiques :

La prévalence du virtuel sous toutes ses formes

Le monde n’a jamais été aussi connecté virtuellement tout en étant déconnecté réellement (physiquement et émotionnellement). Les nouvelles générations qui n’ont pas connu un monde sans internet vont continuer accroître le fossé qui sépare les gens de telle sorte qu’une grande partie de la population vivra dans une bulle ou une chambre d’écho. L’isolement que l’on observe déjà se manifestera de plus belle et le monde finira pas enfanter des générations de gens réellement déconnectés. Le métaverse deviendra peut-être une réalité d’ici une vingtaine d’années. L’échec de Facebook à ce sujet ne montre simplement que le public n’était pas prêt.

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