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Les enfants influencent les parents également

On parle souvent de l’influence des parents sur leurs enfants. Mais qu’en est-il de la réciproque ? Que se passe-t-il si les parents sont courageux et aimants alors que la progéniture est paresseuse et égoïste ? Peut-on subir la mauvaise influence de nos propres enfants ?

Les enfants rois

Dans leur souci de trop bien faire, les parents peuvent finir par gâter le caractère de leurs enfants. Les enfants rois, comme on les appelle sont en fait des enfants qui ont été le produit de tout ce que leurs parents n’ont pas pu avoir en quelque sorte. Ils sont les projections des désirs non satisfaits, le prolongement de soi. À travers eux, les parents espèrent vivre par procuration ce qu’ils n’ont pas pu vivre eux-mêmes. Inutile de dire qu’un tel schéma court à la catastrophe. Les enfants souffriront de ne pouvoir être totalement eux-mêmes et ils pourront mener la vie dure à leurs parents en représailles. En apparence, ils sont choyés, mais derrière cette attention dont ils jouissent, ils subissent la pression d’avoir à faire ce que leurs parents n’ont pas pu ou su réaliser eux-mêmes. Si les parents ne prennent pas conscience de leur erreur, ils pourront tôt ou tard vivre une grande désillusion.

La vie s’améliore de génération en génération

Qu’on le veuille ou non les enfants ont généralement une meilleure vie que leurs parents. Il y a un débat certes aujourd’hui sur les boomers qui seraient une génération d’enfants gâtés : la génération la plus privilégiée. Ils ont sans doute eu beaucoup d’avantage : immobilier bon marché, études peu coûteuses, retraite jeune, la liberté sexuelle sans les risques du Sida etc. Pourtant la technologie actuelle malgré ses défauts a de nombreux avantages qui bénéficient à la nouvelle génération : l’entrepreneuriat est possible en offrant de nouveaux services à distance, le travail en ligne s’est démocratisé, il y a une possibilité de vivre de manière nomade, il y a une réduction des coûts voire la gratuité pour accéder à des services qui avant étaient excessivement coûteux etc. Je ne suis pas certain que la génération actuelle est moins bien lotie que la précédente. Je dirais qu’il y a des opportunités à saisir et c’est dommage d’envier les privilèges d’un autre âge.

Les générations s’améliorant généralement avec le temps, il est normal qu’il y ait un décalage de confort entre les jeunes et les anciens. Les parents finissent par déplorer que leurs enfants ne fournissent pas les efforts qu’ils ont fourni ou qu’ils ne soient pas près à sacrifier ce qu’ils ont eux-mêmes sacrifié.

Les parents partent en dépression

Il arrive que la médiocrité des enfants finit par dépiter les parents. Ceux qui ont mis beaucoup d’efforts et d’attention à élever leurs gamins voient qu’ils prennent une trajectoire qu’ils n’avaient pas prévue. Ils se repassent le film dans leur tête pour essayer de comprendre ce qu’ils ont raté. Le problème est que ce n’est bien souvent pas de leur faute : les enfants sont plus les fruits de leur époque que de leurs parents. Malgré leurs efforts, ils n’ont pas réussi à gagner contre les tendances d’une génération. Les enfants passent de moins en moins de temps avec leurs parents au profit du temps passé avec leurs semblables et les écrans en tous genres. C’est pourquoi les enfants échappent souvent au contrôle parental. Ce décalage entre les désirs des parents et le résultat crée de la désillusion et il n’est pas rare que les parents changent effectivement, à leur tour.

Les parents changent

Puisque les parents n’ont pas pu réaliser ce qu’ils voulaient de leurs enfants, il peut arriver qu’ils ne finissent eux-mêmes par changer. Les parents peuvent ainsi se rapprocher de la culture de leurs enfants ou bien aller dans le sens inverse par rejet. Un père peut ainsi se laisser tendance par l’hédonisme ambiant de la nouvelle génération alors qu’il a mené une vie austère et sérieuse tout au long de sa vie. Bien souvent, la crise parentale peut mener au divorce : l’échec perçu des enfants, c’est avant tout l’échec des parents, à quoi bon dès lors continuer ensemble ?

L’échange de culture

On l’a dit, les enfants sont le produit de leur temps. Les parents doivent civiliser les enfants à leur naissance qui sont en quelque sorte des barbares, étrangers aux codes culturels de la société où ils sont nés. Pourtant, plus le temps passe, plus les anciens barbares deviennent les nouveaux civilisés : les parents deviennent étrangers de plus en plus à la culture ambiante alors qu’ils sont censés en être les garants. La technologie, les jeux vidéo, les réseaux sociaux sont les principaux vecteurs de ces changements de culture. Les parents sont exclus de la majorité de ces phénomènes. Plus le temps passe, plus les adultes sont dépassés et plus on voit l’émergence de deux mondes : l’ancien et le nouveau. Il y a au final une incompatibilité de plus en plus grande entre ces cultures générationnelles. L’une est enracinée, l’autre sans frontières, l’une est en partie livresque, l’autre fait fi des livres, l’une aime le temps long, l’autre aime le temps court, l’une est calme, l’autre est frénétique, l’une aime la stabilité, l’autre aime le changement etc.

Les enfants influencent nécessairement leurs parents

L’enfant qui vient au monde est un esprit à façonner. Les parents essaient de le façonner à son image mais plus le temps passe plus l’influence s’inverse : les parents ont besoin des enfants pour comprendre le monde et ses codes quitte à en adopter définitivement la culture et être un peu aliéné de fait.

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