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Rendre le monde un poil meilleur 

poil meilleur

Ne pas se laisser contaminer par l’amertume

La confrontation avec le monde au quotidien nous laisse des traces qui prennent la forme d’amertume qu’on décèle dans le regard des gens. Pour continuer à vivre avec l’esprit frais et optimiste, il faut parfois aller à l’encontre de tout un tas d’énergies négatives qui peuvent nous laisser démunis ou démagnétisés. Faut-il nécessairement devenir un salaud parce qu’on vit dans un monde où l’on peut croiser de tels individus ?

Cette réflexion est somme toute logique, il est aisé de justifier le mal que l’on commet par le mal que l’on voit chez les autres. Si on agit de la sorte, on est condamné à vivre dans une perpétuelle guerre faite d’agressions et de revanches. Et si au lieu de cela, on se faisait le pourfendeur de cette chaîne nocive ? Si au lieu de rendre le mal pour le mal, on se mettait à rendre le bien pour le mal ? Je sais, cela paraît naïf, mais c’est plus profond que ça n’en a l’air.

Lorsque l’on s’attarde sur les défauts et le mal qu’il y a chez autrui, on n’œuvre que pour son expansion. Si on relève le mal, on lui donne plus de force. Alors qu’au contraire si on observe le bien chez les autres, ils ont tendance à le renforcer.

Terminer un cycle pour en commencer un autre

Lorsque l’on décide de faire un travail intérieur pour ne pas renvoyer le mal, on enclenche un nouveau cycle qui modifie à la fois ce que nous sommes et notre agresseur. Il y a en effet des lois universelles sur lesquelles il mérite de s’attarder. Si vous arrivez à voir au-delà de la méchanceté apparente et reconnaître la part de bien qui se cache, vous faites une contribution positives à la situation en question.

La nécessité de s’éduquer pour causer moins de tort

Quand on grandit, on prend conscience de notre ignorance et finalement, plus on vieillit, plus on sait que l’on ne sait pas. Ceci est également vrai pour le mal que l’on cause aux autres. Bien souvent, c’est par ignorance que l’on fait du tort aux autres. Prenez l’exemple de la consommation de viande. J’imagine que beaucoup d’entre vous n’êtes pas végétariens, néanmoins parmi ceux d’entre vous qui ont fait ce choix, vous vous êtes un jour rendu compte que vous mangiez des animaux sensibles et que finalement votre bonheur gustatif se faisait au détriment de leur bien-être et de leur existence même. Pendant toutes les années où vous mangiez de la viande, il vous était difficile de comprendre que vous mangiez bien des êtres sensibles et intelligents. Il en est toujours de même, lorsqu’on bénéficie d’une injustice, il est difficile de la voir.

On peut reprendre cette comparaison en prenant le statut des femmes et le tempérament agressif ou toxique de certains hommes. Ces derniers ne comprennent pas que leur “masculinité affirmée” pouvait être vécue comme une menace par des femmes qui ont du mal à se sentir en sécurité face à des comportements trop “entreprenants”.

Essentiellement, ce qui pose problème, c’est l’objetisation du vivant. L’animal que l’on mange ou la femme que l’on désire au point de vouloir la “posséder” subissent de notre part une aliénation qui les dépossède de leur véritable essence. C’est par méconnaissance que l’on prend l’animal uniquement pour de la viande ou une femme pour seulement un être sur lequel projeter nos désirs. Pour en finir avec une mentalité étriquée qui a du mal à comprendre le monde qui l’entoure, il faut donner plus de place au point de vue de ces groupes. Ce qui renforce cette perception erronée, c’est le fait que nous soyons submergés d’une production culturelle qui n’est l’œuvre que d’une partie de la diversité humaine. Si aujourd’hui nous arrivons à voir davantage le monde au travers les yeux d’une femme, cela n’a pas toujours été le cas. Étant donné que ce sont les hommes qui ont une production littéraire, cinématographique, artistique en somme, la plus représentée, c’est pour cela qu’on a tendance à voir le monde comme un homme et ce, même si on est une femme.

Faire moins de tort

Nuire à moins d’êtres vivants possibles est un idéal candide. Cependant, c’est lui qui peut nous permettre de véritablement avoir un impact sur cette planète. Sans idéal, on n’accomplit guère de grandes choses. C’est en ayant un objectif inatteignable qu’on met toutes les chances de son côté pour se dépasser. Si chacun de nous décidait de ne plus nuire aux autres, on pourrait transformer le monde en une génération.

L’égoïsme, le leurre du bonheur

Par essence, l’humain est égoïste, par souci de son propre bonheur. Pourtant, c’est dans l’expérience partagée que l’humain trouve son véritable bonheur. Alors, plutôt que de mettre l’accent sur la réussite personnelle des “grands de ce monde”, on devrait davantage montrer les réalisations collectives qui ont été le fruit d’un effort commun sans qu’il n’y ait de leader apparent. En réalité, la vie fonctionne déjà ainsi, les plus grandes prouesses sont le fruit de travaux collectifs qui passent pourtant inaperçus. C’est par nécessité de créer un narratif qu’on éprouve le besoin de mettre en avant une personnalité.

La contribution individuelle

Puisqu’on est parfois seul à lutter, il ne faut pas rechercher l’amitié de son entourage si on voit qu’on cherche à nous dissuader de faire ce qui nous semble bon. Si vos contemporains vous déçoivent parfois, il est bon de jeter un coup d’œil dans les livres. Il y en a parmi eux qui peuvent se révéler être de véritables compagnons de route tant les pensées qu’ils expriment sont en phase avec les vôtres. En fin de compte, vous n’êtes jamais seul, c’est juste que vous ne cherchez pas au bon endroit.

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