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Cultiver l’enfant qui est en nous

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L’éternelle jeunesse réside peut-être dans notre capacité à garder notre regard d’enfant. En grandissant, le monde attend des choses nouvelles de nous, ce qui nous change à notre tour. Ceci nous fait perdre peu à peu notre fraîcheur et notre gaieté. Comment préserver les qualités de l’enfance pour mieux vivre notre vie d’adulte ?

L’enfant est un rôle que l’on occupe tous mais peu sont ceux qui arrivent à garder les qualités naturelles de l’enfant tout au long de leur vie. Ce qui caractérise l’enfance, au-delà de son innocence, c’est avant tout son rapport au monde et notamment sa curiosité. L’enfant sait qu’il ne sait pas, il se présente comme un débutant dans tout ce qu’il fait. Cette humilité associée à une soif de découverte font de l’enfance un âge doré. L’âge adulte peut être handicapant en ce qu’il nous oblige à croire que l’on sait alors que pourtant nous ignorons beaucoup de choses. L’illusion du savoir est le principal frein à notre quête du monde et notre goût de l’aventure. En adoptant la croyance que nous savons, nous réduisons notre capacité à apprendre et cette attitude nous paralyse dans notre progrès. 

Un enfant est vivant parce qu’il est en mouvement et qu’il agit avec un esprit libre. Sa flexibilité lui permet de faire preuve d’empathie, ce qui lui permet de mieux communiquer avec les autres. Bien sûr, les enfants ne sont pas parfaits, mais puisqu’ils n’ont pas collé d’étiquette aux gens, ils peuvent voir au-delà des apparences, là où justement les adultes restent souvent bloqués. 

Cultiver les qualités enfantines est à la portée de tous, pourvu qu’on mette en application au quotidien les 3 valeurs du royaume de l’enfance que sont le jeu, la sincérité et le non-égo.

  • Le jeu.  Ce qui motive tout enfant, c’est la recherche du jeu et la joie profonde qu’il procure. L’enfant mène en général une existence plus libre (hélas ce n’est pas vrai dans tous les pays) que l’adulte puisqu’il n’est pas contraint de travailler pour assurer sa subsistance, il voit avant tout le monde comme un terrain de jeu. La vie n’est considérée qu’au travers du prisme du jeu et c’est même ce qui semble la distinguer du monde des adultes. Avec le temps, l’enfant apprendra que le monde des adultes se résume à accomplir des tâches ennuyeuses ou contraignantes. Recréez le jeu dans votre quotidien, vous permettra de vous reconnecter à l’enfant que vous étiez et qui n’a peut-être pas complètement disparu en vous. Le jeu apporte de la joie mais il est aussi la première source de création chez l’enfant. L’enfant innove toujours dans un contexte ludique. Inspirez-vous des enfants en cherchant le jeu là où il est a priori absent. La monotonie du monde adulte peut être évitée en retrouvant les joies simples et pourtant délicieuses du jeu. Inspirez-vous par exemple de Roberto Benigni dans la vie est belle, même s’il est difficile d’égaler une telle ingéniosité et un tel entrain. 
  • La sincérité. La vérité comme dit l’adage sort de la bouche des enfants. Peut-être qu’il serait bon de remettre un peu de sincérité dans nos vies. Elle est un ingrédient du bonheur. La sincérité consiste à dire ce que l’on pense, ce qui n’empêche pas non plus de penser ce que l’on dit. Dire la vérité, en premier lieu à soi est nécessaire pour prendre les bonnes décisions car la vie d’adulte peut nous conduire à nous voiler la face et finalement vivre une vie en demi-teinte parce qu’on vit la vie d’un autre, la vie qu’on nous a imposée. La sincérité est libératoire, elle remet de la clarté là où règne la confusion, elle nous donne le chemin vers une plus grande satisfaction.
  • Le non-égo. Les enfants ne sont pas exempts de défauts, mais il est vrai que par définition, du fait de leur jeune vie, ils n’ont pas accumulé trop de marques égotiques qui viennent principalement par l’expérience. Freud disait même que le nourrisson n’arrivait pas à distinguer sa propre identité de celle de sa mère et c’est de cette séparation progressive que proviennent les troubles et souffrances de l’existence. Les enfants jugent moins les autres parce que tout est nouveau en quelque sorte pour eux. Ils découvrent le monde, ils n’ont pas d’idées préconçues. Cette fraîcheur les rend plus aptes à apprendre. Soyez comme eux, apprenez à vous humilier en quelque sorte, essayez de diminuer votre égo en faisant des tâches humbles dans lesquelles votre vulnérabilité transparaît. Une telle attitude vous permettra de mieux voir le monde et a fortiori de mieux le comprendre. 

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