sex videos
clothed whore gets fucked. porn-of-the-week.com guy worship feet to three secretaries.
sexdiver.net
You are here

Est-ce que tu as un bullshit job ?

Si tu te poses cette question, c’est sans doute que c’est le cas. Et si tu ne t’es jamais posé la question, c’est soit que tu as un job formidable soit que tu ne mérites pas mieux qu’un bullshit job du fait que tu es trop hébété par ton travail.

Fais un travail que vous aimez et vous n’aurez jamais à travail un seul jour de votre vie. Confucius

Le travail occupe la première place quand il s’agit de trouver un moyen de s’intégrer dans la société. La contrepartie négative à cela est que vous deviez parfois faire quelque chose qui vous déplaît parce qu’il a perdu son sens.

La quête de sens

Si ce que vous faites n’a pas de sens pour vous alors, vous faites un bullshit job, c’est aussi simple que ça. Passer de longues heures au travail sans y voir une quelconque finalité tangible est un peu frustrant. Cela ne veut pas dire que vous fassiez nécessairement un bullshit job mais si vous faites cela trop longtemps, vous aurez la désagréable sensation de ne servir à rien. Et l’argent ne pourra vous défaire de ce sentiment, même si vous touchez des sommes astronomiques.

Est-ce que c’est vous le coupable ?

Avez-vous choisi votre métier pour les mauvaises raisons ? Est-ce la nécessité, la quête de prestige, de gains faramineux ou le conformisme qui vous ont poussé dans la voie où vous êtes aujourd’hui ? Si tel est le cas, vous ne pouvez vous en prendre qu’à vous-même. L’intention est la graine de votre bonheur et malheur. Si vous vous lancez dans une carrière pour des raisons uniquement pécuniaires, il est normal que vous ne soyez pas comblé au final.

Pour avoir le beurre il faut oublier un temps l’argent du beurre

Si vous voulez trouver du sens dans votre travail, il faut rechercher ce qui vous plaît vraiment en général sans tenir compte de la rémunération. Si vous voulez être riche, alors ne cherchez pas à être heureux à la fois dans votre métier, ce sera possible mais ce n’est pas à coup sûr. Il est par contre plus facile d’être riche si on suit ses talents naturels. Là aussi, vous n’êtes pas sûr de vous enrichir mais vous mettez un ingrédient important de votre côté.

On rêve tous d’un bullshit job

Sans le savoir, on a tous rêver un jour d’un job à la con. Le seul fait de pas en comprendre la description suffisait à le rendre assez énigmatique et puissant. Vouloir être au-dessus des autres se fait en un clin d’œil si le simple intitulé de son poste rend incompréhensible ce que l’on fait. Directeur de la conduite du changement transversal et digital, quel beau métier. Happiness manager, encore un travail qui en dit long sur les vacuités du monde du travail. Bien sûr, c’est un boulot condamné à disparaître tant il induit que l’entreprise qui l’emploi est incapable de rendre heureux ses salariés. Votre boulot n’a tellement pas de sens que vous êtes obligé d’avoir quelqu’un qui organisera des soirées baby-foot et pizza afin de rendre votre sort moins misérable et vous fera oublier un moment l’absurdité de votre existence professionnelle.

Servitude volontaire

Réduit en esclavage volontaire, telle est l’ironie de notre époque. On est libres, mais enchaînés par notre conformisme et nos illusions déçues. Courir après un gain de pacotille en monnayant notre âme, c’est vraiment qu’on ne donne pas de grande valeur à notre temps et nos plus belles années.

Faire semblant d’être heureux, c’est le jeu auquel tout le monde joue. La réussite, c’est cette partie de Monopoly à laquelle on vous a forcé de jouer alors que vous, vous souhaitiez simplement aller taper le ballon avec vos amis.

Chimère

Ridicule moment celui où nous nous trouvons forcés de plaire à des gens qu’on méprise en faisant ce qu’on déteste.

La plus grande misère est de vivre sans but ni horizon, comme le radeau à la dérive sous un ciel ombrageux et morne. C’est pour ça qu’un boulot à la con a sa place. Il nous donne le confort du conformisme et le snobisme de son prestige supposé.

Le monde change plus vite que nous

La technologie est un élément incontournable de notre génération. Elle évolue à toute vitesse sans que nous puissions la rattraper. Elle chamboule tout sur son passage jusqu’à notre manière de travailler. Vivre par la technologie, c’est s’exposer à vivre pour la technologie et finalement subir sa dictature. Les BS jobs sont nés de la rencontre de l’industrialisation du travail et de la complexité apparente soulevée par la technologie. Du moment que nous sommes plus capables de suivre la cadence, nous nous exposons à des pièges comme celui d’être un fusible dans une entreprise. Nous occupons une place qui bientôt n’existera plus du fait même de la transformation du travail. Nous accomplissons des tâches sans grande valeur parce que nous avons perdu complètement la vue d’ensemble. Nous sommes des pièces remplaçables d’un engrenage sans cesse plus compliqué. Nous ne pouvons pas nous émanciper parce que nous avons bâti notre stratégie sur des éléments qui nous dépasseront tôt ou tard. C’est comme si nous nourrissions le bébé ours qui bientôt nous dévorera tout cru. Si nous n’avons pas mis en place de stratégie d’émancipation et d’indépendance, nous nous retrouverons bientôt dans la gueule du loup sans espoir d’en sortir.

L’issue passe par une volonté de sortir de ce jeu de dupes

Vouloir à tout prix servir la technologie fera de nous des serviteurs de serveurs informatiques. Prendre la décision d’aller chercher une compétence qui ne dépend pas d’un contexte changeant est la meilleure manière d’échapper à un Bullshit job et de racheter sa liberté. Construire une stratégie gagnante prend du temps car l’acquisition de compétences dures prend du temps. Cela dit, c’est la seule façon d’éviter de rentrer dans une spirale qui nous oblige à répéter inlassablement les cycles d’adaptation à ce monde en pleine destruction créatrice.

Related posts

Laisser un commentaire