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Les riches recherchent ce qui ne peut pas s’acheter

Beaucoup veulent obtenir une pensée d’abondance pour devenir riche. Historiquement, les riches roturiers, autrement dit les bourgeois, ont toujours voulu avoir ce qui ne pouvaient pas être acquis par l’argent, à savoir les titres de noblesse.

Être riche, c’est désirer atteindre l’inaccessible

Lorsqu’on manque de quelque chose d’un point de vue matériel, on souhaite assouvir des besoins prosaïques. C’est peut-être aussi cela qui distingue l’homme et l’animal, car l’homme a su créer un système qui lui permet de ne pas avoir à toujours penser à la nourriture en permanence. Quand on assouvit un besoin, on accède au besoin supérieur, d’après la pensée de Maslow. C’est pourquoi les riches devraient dépasser les autres, ils ont libéré leur esprit de tous les besoins matériels, cela ne signifie pas pour autant qu’ils vivent de manière épanouie car la richesse ne garantit aucunement la noblesse de cœur.

Penser comme un riche sans être riche

Là où la société de consommation moderne a réussi son tour de passe-passe, celui de nous faire toujours croire que l’on est pauvre et que l’on a besoin d’acheter des choses en permanence pour montrer notre place dans la société. Alors qu’en réalité, si on se compare avec les générations précédentes, 90% des gens d’aujourd’hui vivent mieux que 90% des gens qui ont vécu avant la Révolution Industrielle. Cette affirmation tient compte également des classes supérieures et de tous les critères permettant d’en juger (accès aux soins, capacité de voyager, accès aux divertissements, etc.). En tous points, nous sommes riches comparativement, mais nous continuons de penser que nous sommes pauvres, c’est-à-dire que nous pensons manquer et ne pas avoir assez matériellement, ce qui nous empêche d’ennoblir notre pensée.

Ennoblir son cœur et sa tête

Il n’y aura jamais assez de place sur terre pour des têtes et des cœurs avides.

Si la conscience humaine peine à progresser, c’est qu’elle est en permanence maintenue dans un état de manque, c’est-à-dire de ne pas en avoir assez. C’est absolument l’inverse, nous disposons de suffisamment de choses le plus souvent (bien sûr la vraie pauvreté dans le monde n’a pas encore été éradiquée), ce dont nous manquons, c’est de temps et de charge mentale consacrés à notre amélioration personnelle. Si nous avions conscience d’être riches (ce que nous sommes déjà), nous chercherions à devenir plus nobles, de la même façon que les bourgeois d’antan cherchaient toujours à acquérir des titres de noblesse. La différence est que la noblesse qu’il faut rechercher est celle de l’âme, la vraie et non pas la noblesse statutaire ou juridique.

Le vrai bénéfice de la richesse devrait être le contentement

Si la richesse est un bienfait, c’est qu’elle devrait nous permet de dépasser les stades inférieurs des besoins de la pyramide de Maslow. Or, ce qui se passe souvent, c’est que les gens restent pour ainsi dire bloqués au stade de l’accumulation de richesses et que leur vie tourne autour de la possession. Comme on dit, les gens finissent par être possédés par ce qu’ils possèdent, au lieu de s’émanciper vers une quête d’absolu que rendrait possible la sérénité qui découle du conforme matériel.

Cupidité et recherche de confort sont deux choses différentes

Si on devrait tous aspirer à rechercher le confort matériel, pour avoir la possibilité d’élever notre conscience, il faut également veiller à domestiquer des pulsions de cupidité qui pourraient se manifester dans cette quête de confort. Si on n’entreprend pas ce travail au début de notre recherche, il est très difficile de changer car la cupidité est comme la maladie qui touche les racines d’une plante, si elle n’est pas contenue, elle finit par englober toute la plante. C’est pourquoi, la cupidité est un mal qu’il faut traiter à la racine, avant qu’il ne gangrène tout notre être.

Vous êtes déjà richesse, ce que vous devez faire c’est poursuivre l’absolu

Comme évoqué initialement, vous êtes plus riches que vous ne le croyez. Vos désirs vains vous font penser que vous êtes pauvres. Je dis vains car la plupart de vos achats pourraient être éliminés si vous aviez une approche épicurienne. Rappel :

[Pour vivre heureux selon Épicure, il faut assouvir les désirs naturels et nécessaires et négliger tous les autres. Il existe trois catégories de désirs naturels et nécessaires :

• ceux liés à vie elle-même : boire, manger et dormir

• ceux liés au bien-être du corps (aochlèsia) : préserver le corps du froid (se retrouver près d’un feu) et des intempéries (avoir un abris)

• ceux liés au bonheur (eudaimonia) : le désir de philosopher et le désir l’amitié (la philia)

Les autres désirs qui ne rentrent pas dans ces catégories ne sont pas essentiels au bonheur selon Épicure. Voici quelles sont les autres sortes de désir :

• Les désirs naturels et non-nécessaires : le désir sexuel (l’assouvissement de l’appétit sexuel) et le désir du beau (désir de l’esthétique).

Selon Épicure, le désir de se dépenser dans l’activité sexuelle peut être tout bonnement remplacé soit par l’effort physique, que l’on accomplit dans le sport ou la gymnastique, soit la gymnosophie (alliance entre nudité, contemplation et méditation) soit la conversation philosophique avec un ami.

Le désir de beau (comme par la lecture de poèmes) est à proscrire s’il s’accompagne d’un détournement de la vérité. À cet égard, il critique les récits d’Homère qui ont contribué à véhiculer des mensonges par des histoires attrayantes et mythiques.

Les désirs non naturels et non nécessaires : les désirs vains (« vides » (kenai) : sans objet). Ce sont les désirs qui sont illimités, en opposition avec la finitude de la nature. Il s’agit des désirs de possession, de gloire ou de pouvoir. Plus un désir est non nécessaire, plus il est difficile à satisfaire et plus il engendre de la souffrance et donc ne permet pas l’ataraxie, garante du bonheur.]

Essentiellement, c’est une approche qui peut paraître extrême, vous n’êtes pas obligée de l’appliquer à la lettre, mais vous pouvez tout de même vous en inspirer. L’approche épicurienne est résolument minimaliste en ce qui concerne les désirs. Savoir vous défaire des désirs non naturels et non nécessaires vous permet de vous concentrer sur l’essentiel : les désirs naturels et nécessaires au premier rang desquels ceux liés au bonheur (philosopher et entretenir des amitiés).

Le but de la richesse est donc de dépasser les 2 premiers stades des désirs naturels et nécessaires pour devenir philosophe et amical, les qualités parfaites pour atteindre le bonheur.

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