sex videos
clothed whore gets fucked. porn-of-the-week.com guy worship feet to three secretaries.
sexdiver.net
You are here

Pourquoi les gens sont-ils cons ?

Les gens deviennent cons, en général, parce qu’ils ont été victimes d’abus dans leur jeunesse et qu’ils n’ont pas su s’en remettre. En soi, avoir été victime n’est pas une excuse valable : chacun peut entreprendre un travail sur soi pour s’affranchir de ses traumatismes. Néanmoins, il reste toujours hasardeux de juger quelqu’un sans avoir fait l’effort de se mettre, au moins un peu, à sa place.

Les cons vous donnent l’occasion de faire preuve d’empathie

Il est facile d’être aimable avec les gens aimables. La loi de réciprocité nous pousse naturellement dans ce sens. Ce qui est plus difficile, c’est de faire preuve d’empathie envers des personnes qui, a priori, ne la méritent pas — et d’aller ainsi à l’encontre de cette loi. C’est là toute la difficulté.

C’est comme avancer à vélo : en descente, l’effort est quasi nul ; en montée, il est important. Pourtant, c’est bien la montée qui nous fait progresser, pas la descente. De la même manière, le progrès naît de l’effort. Quand vous pédalez, vous développez votre cœur et vos muscles ; quand vous faites preuve de bienveillance et de patience face à des gens difficiles, vous travaillez votre volonté, votre cœur, votre âme, et souvent aussi votre intelligence.

On pourrait dire que les cons sont une formidable occasion de développer son caractère. Parce qu’ils représentent un obstacle — une forme de friction —, ils sont une source inépuisable de progrès… à l’image de la connerie elle-même, inépuisable.

Une patience infinie produit un résultat immédiat

Pour progresser, il faut accepter une certaine dose de stress. Le stress n’est que la réaction du corps à une pression : physique, intellectuelle, émotionnelle ou spirituelle. Trop de stress est nuisible, mais un stress modéré et continu n’est jamais mauvais.

Sous cet angle, les relations de couple offrent une dose de stress bénéfique : elles créent de la friction, donc des occasions de s’améliorer. Bien sûr, tout est une question de dosage, et il ne s’agit pas de vous conseiller d’épouser un con ou une conne pour tester votre patience au quotidien. Des cons, il y en a suffisamment dans le monde pour ne pas en inviter un dans votre lit.

Vous êtes toujours le con de quelqu’un

On peut voir les choses autrement : un con n’est qu’une personne dont le niveau de conscience est inférieur au vôtre. Tout en bas de l’échelle, on placerait les individus les plus malades psychiquement ; tout en haut, des figures comme Bouddha ou Jésus.

Si vous n’êtes pas tout en haut, alors vous êtes forcément inférieur à d’autres. Accepter cela, c’est cultiver l’humilité. C’est aussi comprendre qu’il faut accorder aux autres la patience que vous aimeriez qu’on vous accorde à vous, vis-à-vis de ceux qui vous dépassent.

Acceptez votre part de connerie pour mieux la réduire

On pense toujours que « les cons, ce sont les autres », alors qu’en réalité, nous sommes souvent les premiers cons de notre propre vie. Ce qui caractérise la connerie, c’est la certitude, l’incapacité à bouger d’un iota.

Le doute est une arme redoutable contre la connerie. Mais c’est d’abord à soi-même qu’il faut l’appliquer. Si vous ne doutez jamais, c’est peut-être que vous êtes déjà un gros con ou une grosse conne. Avoir l’humilité de se demander chaque jour : « Et si c’était moi, le con ? » est sans doute le meilleur moyen de ne pas le devenir… ou de ne pas le redevenir.

Éviter les cons

Il ne faut pas vivre en vase clos, mais il est tout aussi nécessaire de savoir se ressourcer. Les cons sont épuisants, et il n’est pas rare qu’ils finissent par nous contaminer en drainant notre énergie.

Pour éviter cela, mieux vaut apprendre à les repérer en amont et réduire au minimum le temps passé avec eux. En règle générale : préférez la solitude à la connerie.

Related posts

Laisser un commentaire