L’humanité a presque été toujours constituée de “travailleurs indépendants”, que ce soit au travers de la chasse, de la cueillette, de l’artisanat ou de la guerre (via le mercenariat). Ce n’est que très récemment que les hommes se sont regroupés en masse pour avoir une relation d’exclusivité de leur travail : le salariat.
Nous ne sommes pas faits « génétiquement » pour le salariat, même si l’évolution darwinienne nous a donné une forte aversion au risque, ce qui nous pousse à préférer la « stabilité », la « sécurité ».
Pourtant le salariat ne comble pas le besoin de liberté inhérent à toute vie humaine.
Parce que la survie humaine a été souvent liée à notre capacité à s’entraider et à coopérer. La plus haute marche de l’échelle des besoins selon A. Maslow est la réalisation de soi. La connexion aux autres et le sentiment de contribuer positivement au monde se réfère à ce besoin ultime.
Ce qui nous limite souvent dans notre travail lorsque nos besoins élémentaires sont comblés c’est de ne pas pouvoir faire ce que l’on veut.
Malgré un certain confort, on est contraints d’obéir à la hiérarchie, de respecter un cadre qui à la longue peut être étouffant.
Une fois que l’on accède à cette liberté, on ressent le besoin de faire quelque chose pour les autres.
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