Une idée issue du livre de Daniel Goleman, A force for good

Adopter la sagesse et la vision du Dalaï Lama, telle est la volonté de ce livre.

Remplacer les émotions négatives par de la compassion et de l’amour

Les sociétés “modernes” ont fait table rase des valeurs des valeurs morales. Pourtant, il y a dans ces mêmes valeurs souvent l’apologie de la compassion et de la solidarité qui laisse place aujourd’hui à davantage de compétition pour obtenir plus de prestige, d’argent ou de reconnaissance. L’amour et la compassion sont des choix conscients (et inconscients) que l’on fait au quotidien. Il s’agit d’un travail délibéré, une action consciente qui, une fois répétée peut devenir inconsciente. Il y a un effort à produire pour aimer. En effet, il est bien plus simple de haïr que d’aimer. Aimer implique d’être notre propre force et d’être résilient face à des événements extérieurs qui pourraient faire germer en nous haine et ressentiment.
Les malheurs du monde qui nous sont projetés chaque jour sur des écrans de télévision ne doivent pas être les raisons d’une résignation mais plutôt des rappels que les forces de l’amour ne doivent pas se reposer.

Pour en savoir plus (d’un autre auteur) :


Autre idée :

Le bien et le mal s’entremêlent parfois. Cependant, on a parfois l’impression que les forces négatives sont plus fortes les forces positives. Mais n’est-ce pas parce que nous nous sommes résignés à faire usage des forces du bien que sont les vertus humaines : courage, intégrité, empathie, magnanimité etc.?
Les gens peuvent commettre le mal pour différentes raisons : par ignorance ou par manque de vertu. Jamais le mal n’est commis sans qu’il soit relié à l’une de ces idées. Pour être un acteur du bien, il faut travailler sur soi-même afin de cultiver au fond de soi les vertus nécessaires. Une fois que les connaissances sont acquises, il est nécessaire de les mettre à l’épreuve par l’action et par la confrontation avec le monde réel. Le monde réel est l’arène qui nous montre si nous sommes à la hauteur des vertus que l’on souhaite incarner. L’action est la concrétisation de ce que nous sommes, il est pour cela nécessaire de soigner ses pensées car elles conditionnent directement notre action.

 

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Edward

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