Quelle est la valeur du bien ?

Le bien n’a pas de valeur marchande pourtant c’est lui qui nous maintient en vie. Les petits actes de bienveillance et de générosité que l’on reçoit sont autant de baumes au cœur inestimables. L’impression de manquer d’argent nous pousse à négliger le bien qui n’apporte pas de rentabilité immédiate. 

Alors si nous refusons d’enlever ces œillères, nous regardons le monde au travers du prisme de notre précarité pécuniaire. 

Tout notre être se transforme, nous devenons avides et obnubilés par l’appât du gain et d’autres tentations. Évidemment, nous arrivons à porter un masque et dissimuler nos intentions mais bientôt nous trahirons qui nous sommes vraiment dans le détails de notre comportement. 

Le bien n’a pas de valeur financière pourtant c’est un passeport obligatoire pour se connecter avec des êtres éclairés. Sans la recherche du bien, nous nous enfonçons progressivement dans les abîmes de l’humanité. La cupidité qui macule notre personne fait fuir les êtres de lumière. Progressivement nous nous entourons de personnalités sombres qui sont hostiles à notre égard sans que s’en aperçoit. Sans un changement vibratoire par la purification de nos désirs en ennoblissant nos intentions, nous n’arriverons pas à nous rapprocher d’entités lumineuses. 

Le bien n’a pas de valeur dans le monde matériel, pourtant c’est la plus haute fréquence du monde immatériel. 

Lorsqu’on choisit de se défaire des taches que constituent des désirs vils ou égoïstes, nous opérons un changement qui nous place plus haut dans la hiérarchie impalpable. Bien sûr, celle-ci n’est pas visible au premier coup d’œil. On peut même souffrir du mépris de ceux qui sont obnubilés par l’argent ou par tout autre aspect prosaïque de la vie. Cependant, travailler à accueillir l’amitié d’entités lumineuses est en soi la source d’une profonde joie. Une joie humble certes, mais que les plus aisés pourraient envier puisqu’il n’est pas sûr qu’ils y goûtent un jour. 

Le bien a de la valeur, mais il n’a pas de prix. On peut et même on doit aspirer à la prospérité mais il faut toujours la subordonner à la recherche du bien.