Tirés du livre « Growth Hacker Marketing » de Ryan Holiday
Il ne sert à rien d’avoir une stratégie de growth hacking sans avoir le produit adéquat par rapport au marché auquel on s’adresse. Ceci implique d’être critique quant au produit que l’on souhait commercialiser. Si celui-ci ne convient pas tout à fait on peut apporter des améliorations en utilisant la méthode du lean startup. L’idée est de pouvoir sortir rapidement un produit sur le marché afin d’en retirer les retours utilisateurs nécessaires à son amélioration. Un fois le produit modifié en tenant compte des commentaires et avis, il est de nouveau introduit sur le marché. Parfois, il est nécessaire d’effectuer plusieurs cycles pour faire en sorte que le produit corresponde le mieux aux besoins du marché.
Si vous avez conçu votre produit de façon à ce qu’il soit viral et que rien de tel ne s’est passé, alors cela signifie que le problème vient du produit et qu’il faut en revoir les fonctionnalités. Parfois un seul détail fait la différence, c’est pourquoi il est nécessaire de sans cesse tester le produit avec le marché. Pour qu’un produit se propage de façon virale, il faut le rendre irrésistible auprès de ses utilisateurs
Le growth hacking fait littéralement disparaître le service marketing. Pourquoi ? Parce que la viralité en est la principale caractéristique et que le marketing traditionnel s’adapte mal avec ce concept. De plus la manière de promouvoir un produit est déjà l’ingrédient constitutif de la recette du produit final. La stratégie marketing n’est pas séparée du produit, elle est dans le produit. La véritable « révolution » du growth hacking c’est d’obtenir des résultats maximum avec des moyens minimum. Ceci est expliqué par le fait qu’il a été mis en place par les startups qui bénéficient de moyens limités pour promouvoir leurs solutions et produits. Là où le marketing traditionnel a besoin de grands budgets pour mener des campagnes dont les effets ne sont que très difficilement mesurés. Le growth hacking est par ailleurs souvent lié à une caractéristique technique et ce sont souvent des ingénieurs qui la « découvrent ». Avoir une bonne connaissance des sciences inhérentes à un produit comme le développement informatique, aident grandement à devenir un growth hacker à succès. C’est pourquoi le marketeur du futur sera davantage un ingénieur qu’un diplômé d’école de commerce.
La viralité ne sert à rien si elle ne conduit pas à retenir les utilisateurs. La croissances d’une entreprise pratiquant le growth hacking vient à la fois de sa capacité à attirer des opportunités client mais aussi à les retenir. Ainsi, le growth hacking implique de peaufiner constamment son produit de manière à retenir ses clients.
Il faut aussi résister à la tentation de voir trop grand, ne vendez pas à tout le monde. Au contraire, il est préférable de se concentrer sur une niche d’utilisateurs fanatiques du produit et disposés à en faire la promotion gratuitement.
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